Je suis adhérente Greenpeace et j’ai été heureuse de recevoir cette carte !
Sur la carte de Greenpeace sur les fermes-usines, que voit-on ?

Les fermes-usines se trouvent toutes ou presque dans la Région Ouest, truffée d’usines de cochons, de poulets en batterie, de vaches donnant du lait frelaté, de poules pondeuses nourries avec quoi, par qui, et comment ? Qui a mangé des œufs bio et des œufs de la grande distribution voit la différence… Entre des carottes bio et non bio, il y a la différence entre le plastique et le légume ! Il faut bien écouler le bétail comme dit la conductrice des taxis pour les psys et on n’a pas tous envie de faire du lait bio…
Je réside actuellement dans cette région, en Vendée, par nécessité puisque j’y ai une maison dont je suis propriétaire et que ainsi je ne paye plus de loyer à Paris. Je suis en télétravail ici et dans le comité d’administration d’une organisation internationale.
Si l’on y trouve en effet des fermes-usines et des conductrices de taxi dont le corps déformé mange depuis des éternités de la merde toute préparée, c’est bien en effet qu’ici c’est comme si tout ressemblait à ces animaux des fermes usines : mes voisins harceleurs dont je mets les photos ressemblent tous à des porcs, et certains même à de vrais porcs sur pied. D’autres, comme le père Lumineau avec sa femme pourrie, ressemblent à des bœufs, avec le crâne allongé et le corps déformé.
C’est comme si ces gens-là avaient intégré dans leur corps l’esprit et la chair de ceux et de celles des animaux qu’ils mangent !
On est ce qu’on mange, rien n’est plus vrai et en effet je pense que au bout d’un moment les êtres qui se repaissent et se nourrissent de ce genre de nourriture pourrie et industrielle finissent par ressembler à ces animaux ! Leur ADN se mélange au leur. ET CELA SE VOIT ! J’ai préparé UNE fois un pot-au-feu avec de la viande non bio et j’ai été malade à crever, parce que mon corps n’avait pas intégré encore ce que cette viande pourtant bouillie des heures contenait.
Il n’est qu’à constater ce que ces gens achètent au supermarché ! Quand j’allais en personne avec eux au supermarché en Vendée je balayais du regard ce que contenaient leurs caddies ! Des plats tout préparés et de la viande industrielle en packs ! Des œufs entassés par douzaines, des packs de bières, très peu de légumes et de fruits et des yaourts par dizaines. Les yaourts, l’horreur du système consumériste !
Tout le reste dans ces supermarchés, ce sont des plats tout préparés, des sushis faits à la va-vite mais plus à la japonaise, des rayons entiers de yaourts pour écouler du lait parfois frelaté, des couveuses avec des œufs dont la coque est si peu épaisse que l’œuf se casse à peine touché et des viandes si rouges et brillantes qu’elles cachent à peine les antibiotiques dont sont nourries les bêtes.
Comment un animal nourri et serré derrière des grilles et des chaînes pourrait-il abattu produire une viande non stressée ?
Devenir végétarien ? Ok ! Mais avec quels légumes ? Cultivés sur quels sols et sans quelles viandes ?
Les fermes-usines dans l’Ouest développent parallèlement des hommes-animaux, qui sont à peine normaux au niveau physique et aussi de la réflexion qu’ils veulent basique, parce qu’ils ne peuvent pas ou plus réfléchir plus avant.
Ils parviennent encore à pédaler et à conduire mais pour combien de temps ? A-t-on déjà vu un cochon conduire une voiture ?
Mais le seul et énorme problème réside en ceci : ces hommes-animaux sont désormais en fonction dans la gendarmerie et la justice !
Alors, comment échapper à ces hordes d’individus chapeautés par les beaufs du profit et de la malbouffe, protégés par une gendarmerie et une justice faites de débiles mentaux, réductibles à une seule pensée, qui voudraient étouffer toute trace de rébellion ?
Les fermes-usines et les hommes-animaux, venez constater ces races d’hommes débiles et croisés avec des élevages en Vendée !

