Wagner, on connaît ! On connaît le rictus de haine du chef et l’oligarque qui subventionne.
J’aimerais bien que le Groupe Wagner vienne à Mortagne sur Sèvre après Bakhmout ; d’ailleurs comme ils aiment en découdre, ils auraient le choix entre bouffer du cochon et du bœuf, et faire des barbecues avec les Dixneuf en discutant de la merde que produisent les juifs.
Les groupes paramilitaires pullulent, et en fait tout échappe désormais aux armées établies et homologuées dont les militaires très tôt à la retraite se lancent dans des groupes de harcèlement criminel en bande organisée, comme celui qui me cible.
Dans les enregistrements réalisés sur ma terrasse, il est clairement établi que des militaires à la retraite participent. Je vais mettre cet enregistrement réalisé avec mon portable sur ma terrasse. Un ami l’a décrypté avec des logiciels spéciaux. C’est sidérant !
D’ailleurs moi je ferais plutôt partir les militaires très tard vers 70 ans, cela leur éviterait des dérives dangereuses faites avec des policiers corrompus.
Quelle différence entre un mec du Groupe Wagner et un des polichinelles de Mortagne ? Le manque de lâcheté.
Ces mecs-là sont des horreurs mais ils ne s’attaquent pas forcément à une femme seule et privée de moyens.
Ils montrent leurs armes au lieu de se branler à l’intérieur des domiciles en compagnie de dondons en utilisant des équipements militaires de façon sauvage et juste pour se moquer des Noirs et des juifs, et pour récupérer des baraques à moindre coût après avoir massacré à coups d’armes à énergie dirigée et la maison et ses occupants.
C’est pour cette raison que j’ai quand même du respect pour eux, qui posent en treillis avec les armes à la main.
Désormais, les groupes paramilitaires permettent aussi aux pays dominateurs de garder un pied à l’étrier dans certains pays déjà affaiblis. Toujours liées à des ordures néoconservatrices, les sociétés paramilitaires sont en fait l’armée de l’ombre, armée par des militaires véreux, ou par des entrepôts cambriolés.
Peut-être qu’un des mecs du Groupe Wagner n’oserait même pas imaginer ce qui m’est fait et ce que j’endure.
Quand on prend les armes, ON LES MONTRE.
