Liberté

Dans les chemins d’été

J’ai pris ta main ô Liberté

Je suis montée très loin

Dans l’immensité d’une souffrance démesurée

La robe blanche que je portais

Demandait que je sois pieds nus

Sur des sentiers où nul ne s’était aventuré

Je me suis penchée sur toi ô Liberté

Et j’ai pleuré.

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