Pourquoi les Chinois à Paris m’appelaient-ils ainsi ? Parce que j’ai des points communs avec leur très ancienne civilisation et que j’aime à ce point la Cité interdite que j’aurais bien aimé y vivre alors qu’elle était toujours interdite. Je n’aime pas le «peuple», qu’il faut bien domestiquer d’une manière ou d’une autre.
Grâce aux Chinois à Paris, j’ai pu écrire mon premier livre ; ils veillaient sur mon ordinateur.
J’ai commencé à écrire un livre sur Moi, Paris et les Chinois parce que je suis arrivée en même temps qu’eux dans la capitale française et que j’ai vu peu à peu leur communauté s’étoffer, les mafias chinoises naître et que j’ai tant aimé le couloir aux Olympiades où je m’arrêtais devant chaque vitrine avant d’arriver au supermarché.
J’avais même demandé à un coiffeur chinois d’acheter les masques de sa vitrine en sachant que j’allais partir pour demeurer quand même un peu là-bas.
J’attends le jour avec eux où un très vieux monsieur me touchera le crâne avec ses ongles longs. On doit partir à plusieurs dans un coin secret du monde où d’inoubliables secrets attendent d’être peut-être révélés.
Gang stalking araneus/Targeted Individuals/Me and Julian Assange 