A ERIC ROHMER QUE JE PRENAIS POUR HANS BELLMER 


Rue Mouffetard mon cœur d’une fenêtre d’où s’est jetée Unica Zurn

Soudain me vient un visage

Très pur

Très innocent

Des traits accusés qu’on accuse de quoi ?

Soudain me vient un visage

Qui me va comme un souvenir

Comme si ces traits aigus

Pouvaient soudain donner une équation de l’Univers

Et d’ailleurs

Un jour

Un jour

Un secret magnifique sera enfermé au sein d’un visage

Que l’on ouvrirait comme un livre

Ce jour-là rue Censier

Était venue à moi la règle d’or absolue

Une cruauté parfaite qui cherchait à aimer.

Publicité

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s