Pour nous, TI, le mot Résistance s’entend de plusieurs façons. Et c’est la première fois que ce mot énorme vaut tant sur le plan physique que sur le plan psychologique.
Où l’on voit d’ailleurs qu’un être humain forme un tout indivisible et que la force du mental que développe le cerveau se transmet au corps.
Des nuits entières sans dormir, des brûlures et des blessures sans nom, sans encore de nom, parce que ce sont de nouvelles formes de blessures et d’atteintes corporelles, comme ces carrelages appliqués sur la chair qui voudraient signer le début de l’objet universel dont fait désormais partie le corps.
Si nous résistons autant nous TI de par le monde, c’est bien pour garder notre statut d’être humain, d’être dont la chair est sacrée parce qu’elle est dirigée par la pensée, le cerveau.
La Résistance s’entend désormais au niveau planétaire. Nous résistons pour que nos corps mais aussi nos cerveaux soient libres.
Les résistants de la Seconde Guerre mondiale se cachaient dans le maquis pour éviter une Gestapo qui se voulait tentaculaire.
Aucun maquis ne nous protège plus.
Ce seraient les recherches déterminantes sur le cerveau du XXIe siècle qui devraient protéger quelques individus et ce serait l’honneur des scientifiques de leur offrir cette zone libre et blanche tout à la fois.
La Résistance reste toujours un grand mot et une immense idée.
Gang stalking araneus/Targeted Individuals/Me and Julian Assange 