CINQ ANS DE CALVAIRE ABSOLU ET UNE NOUVELLE ELECTION PRESIDENTIELLE

J’interpelle chaque jour les principaux responsables du calvaire que je supporte depuis  2008.

Pourquoi s’en prend-on aux personnes les plus créatives, les plus intelligentes, et les plus sensibles ? Les plus belles dans le sens le plus large du terme ? Celles qui pourraient vraiment apporter quelque chose au monde et faire qu’une vraie révolution voie le jour ? 

Mais tout simplement parce que cela n’intéresse personne et que les rares êtres différents sont gênants pour ce tas d’idiots qui arrivent par hasard sur la terre.

En France, le constat est effarant : la réponse réside quand même dans la chute vertigineuse du QI des Français et dans la volonté assumée de l’Etat de faire taire toute VRAIE REVOLTE, TOUTE VRAIE INTELLIGENCE. C’est pour cette raison aussi que notre organisation Icator va attaquer les gouvernements et exiger d’eux une réponse légale à cet acharnement contre j’allais dire l’intérêt même d’exister.

Si je pouvais exiger une chose ce serait que ces gens qui me harcèlent n’aient jamais d’enfant. Et on aurait dû exiger cela depuis longtemps : ne pas en rajouter une couche. Stopper cette logorrhée d’êtres humains inutiles. C’est pour cela qu’une loi vraiment révolutionnaire serait d’exiger au moins une amniocentèse obligatoire, au moins éviter les viandes avariées. J’en suis là juste avec ce que je vois et ce que je subis.

Le précédent débat présidentiel était déjà sinistre et on y sentait poindre celui-ci : je comparais alors Macron à un directeur de Carrefour et Le Pen à une Dame Pipi.  

Macron a juste agrandi son supermarché en privilégiant ceux qu’il fallait et qui ne se révolteraient pas et Marine a activé tous ceux qui avaient de près ou de loin un rapport avec la surveillance et la sécurité, entre autres des toilettes. 

Nous en sommes là, dans une France où les 1% ont été privilégiés, mais hélas ! mille fois hélas ! ce n’était pas dans la foule des idiots qu’il fallait les trouver, pas parmi les footballeurs par exemple (je rappelle qu’il y a 12 terrains de foot de plus par minute dans le monde…). Ce chiffre dit ABSOLUMENT TOUT… 

L’effort d’un pays, sa grandeur, ç’aurait été cela : privilégier les 1% qui auraient vraiment changé quelque chose et pu réfléchir chaque jour au bien commun, mais attention ! avec de vraies réformes : j’en cite une : le droit à l’avortement qui évidemment et forcément est actuellement remis en cause puisqu’on rétrograde et qu’on devient moins intelligent.

Que reste-t-il donc aux politiques à part plaire à ces troupeaux de moutons et de vaches qui meuglent leurs mécontentements ? Que veulent ces citoyens électeurs ? Quelle différence pour eux la retraite à 60 ou à 65 ans ? Que vont-ils faire de plus puisqu’ils n’ont aucune ressource en eux et plus autour d’eux puisqu’ils n’ont rien inventé et n’ont fait que détruire ?

Cela doit être désespérant et je sens que Marine elle-même s’épuise, parce que j’ai du respect pour elle et qu’elle y a laissé un charme certain : ces bains de foule avec ces mains tendues et tous les regards de ces imbéciles, ces enfants déjà crétins qu’on vous fourgue dans les bras pour y déposer un baiser ou une bénédiction, comme le fait le pape. Les politiques ne sont désormais pas plus que lui. Ils ne feront aucune véritable réforme.

Les politiques ne font plus que gérer certains fonds de commerce : les handicapés, car cela appelle à des sentiments que tous savent encore ressentir, on appuie sur le bouton du faible dont on a pitié et qui n’a aucun pouvoir sur rien… Mais ces handicapés ont un SEUL pouvoir : mettre un bulletin…

Marine Le Pen parle d’un grand ministère de la ruralité : elle vise qui ?  ceux qui sont restés parce qu’ils n’avaient pas eu la force de caractère pour aller ailleurs… 

Cette race de seigneurs, à laquelle j’appelais en souhaitant que puisse se faire ce village Targeted Individuals, serait plus que jamais mon salut puisque rien ailleurs n’existe plus, que ces enclaves où quelques survivants pourraient encore échapper au pire : se sentir engluer et disparaître dans les sables mouvants du grand nombre.