Une nomenclature du CRIME et non plus un DSM

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Grâce à nous et aux interrogatoires que nous allons subir et je dirais dans mon cas que je VEUX subir, nous pourrions refaire une nomenclature en psychiatrie (mais je l’appellerais désormais autrement… puisque la psychiatrie ETAIT une médecine de l’âme, encore faut-il croire à l’âme, en tout cas une médecine qui étudiait les troubles du cerveau, ce qui ne peut absolument plus convenir puisque nous sommes ici dans une –parfois– étude du cerveau mais surtout et enfin dans une maladie du cerveau que l’on provoque à cause de la cybertorture, une atteinte du cerveau. Le mot « psychiatrie » est à jeter aux oubliettes de l’Histoire et j’allais dire les psychiatres aussi, sauf à se former et à connaître ces nouvelles techniques d’asservissement.

Nous sommes seulement donc et encore enfin dans les infractions pénales :

viols, attouchements, mutilations, voice to skull, tortures, déformations,… 

Comme les Targeted le constatent chaque jour, surtout ceux qui ont la voice to skull, nos sociétés sont très malades et ce programme n’a pu avoir lieu que dans des sociétés très malades et je précise : dans lesquelles certains ont compris que TOUT était perdu. Le point de vue de Nils Melzer était on ne peut plus intéressant puisqu’il replaçait cette cybertorture dans une société donnée. Mais son point de vue manquait de pertinence en cela qu’il faut (si l’on veut un jour en sortir…) établir pour les classer les listes des persécuteurs. Qu’aura-t-on ainsi ? Toutes les pathologies anciennes de la psychiatrie, sauf quand il s’agit de personnes n’ayant pas une intelligence humaine si développée.

Ce que l’on entend lors des viols électroniques défie toute concurrence : comme il n’y a aucune preuve du forfait l’agresseur s’en donne à cœur joie. J’ai des passages absolument sordides. Quand on sait par ailleurs que certains actuellement paient des fortunes pour visionner des images de cœloscopie ou d’examen synécologique il y a de quoi hurler.

Avec la CYBERTORTURE, il s’agit bien de crimes des agresseurs. Nous savons tous parfaitement et nous les désignons ainsi que nos agresseurs ne sont autres que des criminels, et que toutes les pathologies documentées sont représentées. 

Si il est si facile de nous taxer de schizophrène ou de bipolaire, c’est bien en effet qu’il y a dédoublement forcé à cause de la voice to skull : nous vivons forcément ici et là. Nos agresseurs se débarrassent de nous ainsi. Il en était ainsi au début des branchements.

Cette nomenclature commencerait forcément par les premiers branchements. Interrogeons-nous : brancher quelqu’un, c’est bien un crime ? C’est en quelque sorte mais par un objet différent lui donner une sorte de léger coup de poignard pour ensuite jouer avec lui.

C’est le principe même du sadisme.

Je considère et j’espère le dire en public que toutes les personnes qui ont fait joujou avec les logiciels de cybertorture sont des sadiques, déjà expérimentés ou en puissance.

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