Nantes, ville jeune, ville étudiante, ville ouverte sur les mondes et surtout sur le monde océanique, Nantes a la liberté dans le sang. Nantes respire la liberté tous les jours.
C’est une des villes de mon cœur, et c’est peut-être de Nantes que s’envoleront un jour d’autres vaisseaux de la liberté. Que crie le peuple à Nantes et ailleurs ?
Que le Conseil constitutionnel qui vient d’approuver le pass sanitaire vient également en sa décision du 6 août 2021de voter une loi de programmation pour garantir un accès universel à un service public hospitalier de qualité. On se moque de qui ? Ou alors est ce que ce sera vraiment à l’ordre du jour après avoir éliminé par le covid un certain nombre de personnes que ce charmant Laurent Alexandre appelle les «Inutiles» ?
Un service public hospitalier de qualité n’était-ce pas une évidence depuis des dizaines d’années ? Et ce service public hospitalier de qualité ne peut exister qu’avec des soignants de qualité assez nombreux et bien payés ? Ce n’est plus le cas depuis longtemps…
Les manifestants sont passés devant l’hôpital de Nantes, où mon sang est congelé et où mon père est mort de trop de chimio.
Comment les deux (pass et service de qualité) sont-ils discutés au sein d’une même instance ?
Et Fabius (lui c’est lui, moi c’est moi…) a toujours cet air de«il faut bien» !!!…
Oui, il faut bien plaire aux labos et à l’industrie pharmaceutique et à tous les corrompus, car il faut bien savoir que ce vaccin était nécessaire à l’économie ! La santé passe bien après l’économie…
On pourra discuter n’importe quelle loi, ce qui aurait dû être fait il y a longtemps sera fait maintenant ou jamais. Et comme ce sera sans doute jamais le pass sanitaire est aussi une façon de dire : «mieux vaut prévenir que guérir donc museler».
Mais la muselière on n’en veut pas !……
J’ai vu un drapeau noir dans la foule à Nantes. Mais oui n’oublions pas que Nantes a une grande tradition anarchiste et que c’est à Nantes en mai 68 qu’il y a eu une commune qui prônait l’autogestion. Les milieux anarchistes ont tenu la mairie pendant dix jours alors !
CE que les jeunes hurlent dans la rue, c’est qu’on a perdu trop de temps, qu’on gaspille de l’argent, et que nos morts et nos vies ne servent plus à rien s’il n’y a plus le sens de la liberté et la liberté.
Les autorités devraient aussi se souvenir que ces milieux-là existent toujours et qu’ils pourraient bien crier un jour : «
«Libertaires pour la liberté définitive !»
Je ne voudrais pas qu’on trépasse pour le pass mais si la liberté est à ce prix…
Gang stalking araneus/Targeted Individuals/Me and Julian Assange 