Que l’on appelle à tuer l’ennemi de la Nation (si tant est qu’il y en eût un…) est encore supportable. Mais que l’on s’attaque à sa propre population, à sa propre jeunesse, est insoutenable. Ce qui s’est passé hier dans le 93 est affreux : des lycéens pacifistes chargés par la police. Sont-ils des ennemis du peuple ? Nullement et cela me donne les larmes aux yeux. Mais c’est la police qui a désormais le pouvoir et c’est pour cette raison que nous gens intelligents et libres nous créons des enclaves. Plus d’autre choix. Par ailleurs, je prône la disparition totale des établissements d’enseignements et de cette race atroce des profs, qui ne sert plus à rien. Sauf des établissements supérieurs et cela malheureusement on veut l’interdire puisque quiconque sera vu dans un couloir de fac sera verbalisé !!!!!
Ce n’est pas du tout un hasard si dans le même temps des inscriptions révisionnistes sont apposées dans le village martyr d’Oradour sur Glane sur le Centre de la mémoire, inscriptions qui ont outré le dernier survivant de cet atroce épisode. Car qui a tué à Oradour sur Glane ? Ce ne sont pas des SS, c’est bien la Milice. Et ont-ils été condamnés ? Non justement non. Et c’est bien là le problème.
On assiste actuellement à la résurgence de ces réseaux de collabos, par exemple dans les réseaux d’Alain Soral et Dieudonné. Dieudonné est triste de la mort de qui ? De Faurisson, quand même, négationniste revanchard qui prêche pour tous les petits Blancs foireux. Et c’est en cela que Dieudonné est détestable ou devrait l’être : c’est qu’il est Noir !
Dans le réseau de Soral, il y a ce que j’appelle un pêle-mêle sauce facho. On y trouve de tout et surtout des vues courtes. Je me bats contre ces réseaux de collabos depuis des années. Pourquoi ? Comme ils l’ont montré cet été à Oradour, c’est toute la mémoire qu’ils veulent gommer, et avec elle évidemment l’histoire. La justice pour eux n’a aucun sens, la police oui. C’est ce qu’ils ont signifié ce jour-là à Oradour : je peux si je veux (c’est leur façon de parler…) cramer ceux qui me déplaisent dans mon propre peuple et dans les autres bien sûr.
Et comme durant la Seconde Guerre mondiale, ils ont créé des Milices, ces ordures qui arrivaient chez les juifs et qui faisaient dégringoler de plusieurs étages les bébés et les valises.
Mais ce qu’on doit leur opposer c’est le regard de Robert Hébras (le bébé brûlé vif d’Oradour avait une semaine, les lycéens du 93 pour eux c’est du rien du tout…), rescapé d’Oradour, qui leur ressemble physiquement, qui est un Blanc quelconque, sauf qu’il a vécu Oradour, et qui serait peut-être comme eux s’il ne l’avait pas vécu. Mais ce que je vois dans son regard est très complexe (il a vu mais aussi su…?)
Ce regard dit ceci : j’ai encore l’odeur des chairs calcinées dans la bouche et cette odeur je ne voudrais pas qu’elle se répande partout. Même si moi-même…
Mais voilà : ce sont ces réseaux là qui désormais détiennent des armes de guerre et qui entraînent tous les petits morveux du monde. Le covid arrange ces réseaux : on s’y réfugie par peur du monde.
Ces réseaux détestent et la mémoire et l’histoire et la science et l’intelligence. Ils sont extrêmement dangereux.
Si certains avaient fait leur travail en 2016, ils auraient été dissous.
Les collabos ont fait rentrer leurs enfants dans quels domaines ? La police bien sûr.
ET c’est pour cela que dans les jours qui viennent je vais me pencher sur les noms des policiers français sous l’Occupation.
JE NE SUIS PLUS FRANCAISE et D’OU DANS LE MONDE ? JUSTE DE MALAGA, VILLAGE TI.
