« Sécurité globale ». Ne riez pas il l’a bien dit. Dans ce monde où nous sommes en totale INSECURITE, le ministre de l’Intérieur a osé utiliser cette expression.
Les pouvoirs de la police et de la gendarmerie sont étendus, et je garde une image d’absolue horreur en ce temps de coronavirus : les personnes, soignants et sympathisants qui protestaient contre la fermeture des urgences de l’Hôtel-Dieu se sont fait verbaliser… Pour moi c’est l’image même d’une insécurité globale.
Des collégiens et des lycéens gazés, traumatisés, freinés dans leur course vers la vie. Nos enfants malmenés, blessés.
Le coronavirus a le dos large : on installe parallèlement une jolie petite dictature, mais ce n’est même pas ce qu’on pouvait appeler une dictature car qui serait le dictateur ? Macron ? Non ! Ce n’est qu’un guignol.
Et je cherche aujourd’hui un nouveau mot pour désigner ce qui se profile sous nos yeux : est ce un Etat policier, même pas. C’est un régime d’exception, dans lequel justement on privilégie les réseaux d’imbéciles auxquels on peut tout demander et qui savent OBEIR, et dans lequel on rejette les exceptions, les intellectuels, les poètes, les altermondialistes, tous les gens intelligents mais qui ont une intelligence d’ouverture tournée vers l’avenir et vers la science. Les gens obtus eux comme les profs sont du côté des imbéciles. Puisque ils veulent eux aussi qu’on leur obéisse…
Ces nouveaux Etats sont comparables aux régimes des Républiques bananières, et c’est sur leur modèle qu’on les construit.
Nous ne vivons plus dans un Etat de droit, mais c’est bien pire qu’un Etat de non-droit :
Je dirais que ce pays et tous ses habitants sont désormais dans un Etat second, avant peut-être de voir enfin le soleil nous éclairer à nouveau.
Gang stalking araneus/Targeted Individuals/Me and Julian Assange 