Mardi matin 11 août 2020. L’odeur de la tomate, de la branche tomateuse m’emplit tout entière. Cela couvre les miasmes de ces folles qui me persécutent et qui dégoûtent même les plus graveleux. Ce que j’entends par la V2K est une absolue horreur (le pochon !!!) et je me console en respirant des odeurs ou en pensant à de jolies choses. A ce que je pourrais m’acheter comme tenues chez Xuly Bet, ce que j’ai toujours porté du lycra stretch, à ce que je vais recevoir comme matériel pour dessiner, à ce que je pourrais offrir à ma grande fille. Il ne faut surtout pas que je songe à cette jolie décoration des cuisses que m’a faite une des tarées, celle dont le pochon brun doit dégoûter même les plus aguerris. J’avais regardé cette superbe attraction comme devant être mise en cage dans une fête foraine. ET c’est alors que je me souviens d’une chose : j’avais vu la dernière femme tronc un jour dans un cirque itinérant ; elle était dans sa cage et m’avait fixée si fort que j’étais tombée ensuite sur un rocher pointu qui m’avait déchiré le genou. En voyant le pochon de cette femme brune qui toisait les autres (pourquoi on se le demande si ce n’est qu’elle appartient à une famille de lapins de garenne…) je m’étais dit que cette femme était folle. Elle ne comprend donc même pas la gravité de ce qu’elle m’a fait. Je jure d’avoir la peau de cette sordide Catherine Le Gallou dont la meilleure amie est l’autre brune à sac de merdes Sheila Coren Tissot.