Peur d’être empoisonnée

Je vis dans la peur constante d’être empoisonnée, qu’on cherche à m’éliminer par le virus ou par d’autres moyens.
Je me souviendrai toujours de ce que l’on appelle «le souffle du diable », que j’ai respiré pendant trois nuits dans la chambre des Olympiades au seizième étage.
J’ai failli étouffer. En fait c’était fait pour m’affaiblir, me faire rêver, et rester dans mon lit le jour suivant.

Ce qui m’a sauvée c’est de rester dans la REALITE : le travail, les courses, la vaisselle, le ménage, les repas, le petit déjeuner, déjeuner et dîner. Et j’ai assumé de déménager à chaque fois que je sentais que c’était nécessaire à ma survie et surtout à celle de mon enfant. Je courbais la tête pour faire la vaisselle et je mettais ma tête sous des casseroles pour me protéger des tirs. Je me revois dans cette cuisine au seizième étage avec une casserole sur la tête ou enfermée dans les placards pour envoyer mes mails et me protéger de leur cybercriminalité.

Ces gens se sont cachés derrière un programme, pour se faire de l’argent et m’utiliser. Ils sont payés extrêmement cher pour me harceler.

Le tout fait un cocktail international si détonant qu’il serait capable de déclencher une guerre, en tout cas de faire mettre en prison dans des quartiers de haute sécurité pour des années de nombreuses personnes, coupables de crimes, d’abord, et de plus de crimes contre l’humanité.

C’est un scandale international, c’est l’horreur ce que j’ai vécu.

Je repense à plein de choses : le camion des déménageurs empêché de quitter les lieux, l’ascenseur en panne, les lieux nouveaux sans douche, les tuyaux de travers.

Le gang stalking a bon dos : et il cache le visage de CRIMINELS, protégés par une certaine frange de la police et de la justice.
Mais n’oublions pas que ces derniers se font parfois justice eux -mêmes, par désespoir d’avoir participé à ces horreurs.