Avec ce virus, nous voyons clairement (nous allons poser la question aux bêtas et aux attardés), qu’il n’y a plus quoi ? Plus de …
Frontières
Et non seulement plus de frontières, mais plus de …
Gouvernements susceptibles de faire face correctement aux virus tueurs et intelligents.
Bravo !
ET les «plus de…» vont se multiplier : plus de travail, plus de vêtements (ce n’est plus de première nécessité), plus de sport, plus de rencontres… normales entre hommes et femmes, et l’on pourrait en faire une longue litanie.
Mais je dirais quand même que grâce à lui nous avons un PLUS :
Une vraie raison d’entrevoir autre chose et un autre monde où le mot universel a une place et une nécessité :
NOUS EXIGEONS LA MISE EN PLACE D’UN REVENU UNIVERSEL, face à ce virus universel qui nous afflige.
Mais ce qui est affligeant, c’est bien que le président du Medef, Geoffroy Roux de Bezieux (ne riez pas ne riez pas…) nous dit qu’après le confinement il faudra travailler davantage, plus vite et sans avoir de congés payés. Mais allons donc ! 36 tu connais ?
Non Geoffroy Roux de Bezieux ne connaît pas. Il sait qu’il a désormais une masse salariale prête à se tuer à la tâche après avoir été confinée.
Car ce virus sert surtout le CAPITAL.
Mais ceux qui réfléchissent et qui sont tournés vers l’avenir veulent avant tout servir la suite de l’humain, qui n’a absolument plus besoin de travailler. Il y a assez de robots, d’ordis intelligents pour qu’une bonne partie de la population n’ait plus besoin de travailler.
Si j’avais actuellement de l’argent, j’irais trouver les têtes éclairées qui se lèvent actuellement dans ce monde.
Heureusement, nous TARGETED INDIVIDUALS nous avons un projet pour l’humain.
Ce REVENU UNIVERSEL est désormais nécessaire pour qu’il n’y ait pas de guerre civile, de pillages et de scènes de désolation.
C’est ce qui redonnera espoir aux peuples, qui pourraient dans un grand élan d’intelligence mettre une tout autre vie au monde.
LE REVENU UNIVERSEL, pour oublier ce VIRUS UNIVERSEL et renaître. Si ce revenu universel n’est pas mis en œuvre, c’est la fin de l’humain.