Les capitales respirent dans le monde entier.
De Pékin à Paris, le ciel a retrouvé une telle transparence que nous sommes tous subjugués.
Ce bleu d’été où l’on sent encore un peu d’hiver nous rassure nous pauvres êtres humains livrés sans défense à ces bactéries tueuses, ces virus atroces.
Prendrons-nous ENFIN les mesures drastiques et déterminantes qui nous sauveraient et qui créeraient un autre monde où bien sûr désormais tout est lié, mais nous avons assez vu la catastrophe que nous avons provoquée.
C’est une chance qui nous est offerte pour ridiculiser le capitalisme et l’enterrer.
On sait suffisamment que les migrants viennent par bateau. Pourquoi tous les voyages désormais ne se feraient pas ainsi, en détruisant et la flotte aérienne et les immenses paquebots de croisière. Ce ne sont pas les Japonais qui diront le contraire !
Si enfin nous arrivions à respecter la nature, à l’aduler et l’adorer, tout en privilégiant dans la science ce que nous avons découvert de meilleur, mais à son service, au service de la nature et de l’intelligence.
Mais je crains que cela ne reste un vœu pieux, puisqu’on annonce déjà que les bateaux de pêche reprennent la mer, qui serait pourtant notre avenir si…