POURQUOI Y A T IL DES EMEUTES URBAINES ?
25 août 2017 21:17
Hier je révisais avec ma fille les Trente Glorieuses. Urbanisation, immigration, généralisation, puis mondialisation, tant de noms en « ion » qui donnent le vertige.
La société urbaine a créé des monstres. Des êtres qui par manque de moyens sont obligés de rester dans des tours où ils ne veulent croiser que ce qu’ils croient être leurs semblables.
L’immigration aussi génère des idées monstrueuses et d’une débilité crasse. Des êtres qui ne voient pas beaucoup plus loin que le bout de leur nez ou de leur carte d’identité où figure juste « pur porc », « pur jus français »…, comme si cela pouvait – encore – exister.
Dans ce quartier Olympiades auquel j’ai dit adieu ce soir, des origines se croisent et se mêlent. À 22h30 je suis passée devant le DNJ Café, le soir où l’orchestre donne de la voix. On a vraiment l’impression d’atterrir au Vietnam. J’ai souvent l’impression d’être dans des films. Les putes Cointelpro agitaient leur semblant de fesses en recherchant du regard les vieux Blancs libidineux qui ainsi assouvissent leurs instincts tout en restant politiquement corrects. Avec une Black, ils n’oseraient pas. C’est désespérément ici un reste d’Indochine, un reste de guerre. Il faudrait peut-être que ces femmes, comme le font les femmes africaines, réagissent et existent. Les joujoux de porcelaine, ça va un temps, même pour elles sans doute.
J’ai dit adieu à ce quartier où j’aurais pu être vraiment heureuse. J’aurais été sans arrêt au Dansoir.
J’ai dit adieu à ce quartier car les gens qui y sont depuis des années en fait y sont mal, y sont frustrés. Feraient tout pour en sortir, y mettent des êtres en esclavage, n’hésitent pas à être payés pour tester le harcèlement électromagnétique.
Ces quartiers, comme ces êtres, manquent de grandeur, de grandeur d’âme.
L’urbanisation crée des monstres. Des êtres qui ne savent même plus ce qu’est l’ailleurs, l’extérieur. Qui sont capables de torturer pour évincer des voisins qui ne leur conviennent pas.
L’urbanisation et l’attirance pour les villes créent des monstres : près de l’école de ma fille, à Sully Morland en plein Marais, un jeune Roumain dormait sur le trottoir (agonisait ?) sans que quiconque fasse attention à lui.
C’est bien au mieux vivre dans les villes qu’il faut songer, puisque tous nous nous y cognons et nous y côtoyons. Mais la manière totalitaire n’y changera rien. Ce n’est pas en évinçant avec la torture un voisin qu’il n’existera plus.
Puisque nous ne pouvons tous nous transformer en tueurs, et pour ceux qui ne parviennent pas à trouver un lieu vivable où l’enfer ne soit pas les autres, il leur faut s’éloigner, renaître à la campagne peut-être.
Ce harcèlement électromagnétique est orchestré par des criminels, est bien le signe d’un nouveau marché, de nouvelles mafias, où s’entremêlent d’autres mafias, dont celles d’une certaine prostitution.
Ce harcèlement électromagnétique est forcément fait par des êtres qui ne savent pas ou plus ce qu’aimer et désirer veulent dire. Des êtres qui ont une certaine idée de l’ordre qui ne peut plus correspondre au monde moderne. Et c’est cela d’ailleurs qui les tuera : les camps nazis n’ont pu exister qu’avant l’ère d’internet. Les nazis nouveau genre utilisent les ondes qui ne laissent pas de traces. Mais ce sont avant tout des frustrés et des malades. Ce harcèlement se retournera un jour contre eux-mêmes.
Au DNJ Café les putes Cointelpro agitent leurs semblants de fesses pour les vieux Blancs libidineux qui se rejouent la guerre du Vietnam pour pas un sou. On reste dans le politiquement correct, et les réseaux nazis se gaussent des femmes qui ont un amant black.
Au DNJ Café, c’est une époque qui va se clore, et les vieux Blancs libidineux un jour repartiront la tête basse (pour ne pas dire autre chose) lorsqu’ils auront enfin pris conscience de la puanteur de leur pensée.