CORONAVIRUS // STALKINGVIRUS

Les Etats eux aussi ainsi que les groupes mafieux fonctionnent de façon virale : c’est d’ailleurs  le phénomène du stalking, où tout découle d’une première infection, et qui ensuite se réplique dans ta vie de façon aléatoire, il suffit juste de tomber par hasard sur une première INFECTION, dans mon cas il y en a plusieurs mais le ponpon revient à Véronique Le Moullec.

1. Tostivint a quand même réussi à caser une de ses rousses auprès de la famille de ma sœur, déjà chassée de Dubai par les mêmes. Quand j’ai vu cette jeune fille rousse j’ai tout de suite compris. Heureusement mon petit neveu l’a quittée.

Ma soeur ne pourrait même pas imaginer une telle horreur… Et je ne peux pas la lui faire même accepter.

Idem pour ma fille qui s’est fait véroler et infecter un peu partout par des garçons qui ne lui voulaient que du mal, dont un aux Olympiades qui m’a regardée sous le nez et qui m’a demandé : «ça ne vous ennuie pas que je sois au Front national ?» Il pensait sans doute que j’allais le gifler…

Ce genre de procédé pervers de surinfection, les psychopathes adorent parce qu’ils en jouissent. Tout comme certains attirés par les films d’horreur sont ravis de ce qui se passe sur le paquebot au Japon : c’est toujours le même phénomène de surinfection qui plaît aux malades mentaux et aux personnes qui sont habitées par le mal, par pure délectation. Ce qui fait d’eux des cinglés.

Le stalking donc convient parfaitement à notre société de détraqués : on s’amuse sur le tableau vivant du monde à cibler certaines familles qui peu à peu baissent la tête : comme par hasard il s’agit quand même le plus souvent de personnes tolérantes, sensibles et créatives à qui non seulement on enlève leur liberté et leurs biens mais que l’on lamine peu à peu. Ces personnes défendent presque toutes les mêmes valeurs : l’écologie, la tolérance, la bonté, l’exigence d’un monde autre. C’est très grave. Cela l’est d’autant plus quand au niveau historique ces familles ont déjà été spoliées de leurs biens depuis des générations, ce qui est le cas de la mienne.

Mais l’ancêtre de Vienne aimerait avoir un DEVENIR, sans ce virus qui nous écartèle et qui nous donne une fièvre de cheval et qui décime les êtres humains que nous sommes au profit d’intérêts sordides.