Les lignes de prostituées dans les quartiers chauds Et les prostituées en ligne

 

Je dois aller sous peu interroger les filles à Pigalle, au moins dans les cafés, surtout dans la petite rue,6OBNLCLDZBKVZLHLMFSHAZQRAU après m’être rendu compte qu’à Pattaya tous les garçons étaient pucés ou presque et de plus en plus. Cela alimente la prostitution en ligne qui ne s’est jamais aussi bien portée. D’ailleurs cela a pratiquement tué la prostitution de rue.

On a retiré dernièrement une RFID du corps d’une prostituée et comme je me suis sentie toujours très proche de ces femmes-là ce sujet m’intéresse. Evidemment, la plupart du temps la prostitution c’est l’abattage, ce sont des hommes qui tripotent et les filles ne peuvent pas forcément choisir et c’est vite très vite l’horreur. Il faut aussi éviter tous les détraqués. Cela je souhaite à personne de le connaître. On m’a dit aussi que certaines personnes achetaient très cher les images de coloscopie – cela donne une idée des cerveaux détraqués.

 

Mais je voudrais aussi dire cela en public : certaines femmes le font par goût, pas par obligation. C’était le cas de ma belle proxénète, la magnifique automate, qui m’a  horriblement «éduquée» et qui m’enfermait à clé pour que je ne sorte pas. C’était le cas aussi d’une femme à Amsterdam, qui y trouvait du plaisir, mais elle avait la possibilité de choisir et était très protégée. Ses mecs sortaient les indésirables.

 

Malheureusement, la prostitution est souvent liée à la violence, à des scènes trash car certaines gens ont besoin de plus en plus de trash pour être excités ; ils sont en fait loin très loin des sensations, et sont juste dans une sorte de névrose. En fait ils sont très loin du corps, et voir battre un animal leur donnerait à peu près les mêmes réactions, les mêmes sensations. Je ne sais pas si cela a été ainsi de tout temps ou si c’est comme l’alimentation : il y a trop de tout. Donc du coup on n’a plus goût à rien. Il faut toujours plus.
Je me souviens par exemple de mon très bel amant mauritanien, qui a passé des heures à me caresser derrière le genou ; nous étions en pâmoison tous les deux. Parce que nous avions tous les deux exactement la même façon de réagir. Je n’ai jamais vu d’homme plus beau que lui.

 

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