OSERAIENT-ILS ENCORE NOUS APPELER UNTERMENSCH ?

Ce qu’on nous fait porter est une sorte d’étoile mais invisible ; en fait on nous étoile le cerveau.

Durant la Seconde Guerre mondiale, tandis que les nazis organisaient les déportations, et que sur le trajet les âmes bien-pensantes regardaient passer les trains desquels dépassaient souvent des mains – Hommes 40, chevaux 8 – et ne pipaient mot

je fais une petite incartade pour signaler que de nos jours c’est pareil : on regarde passer les victimes ciblées du harcèlement en réseau sans piper mot, et pourtant certains savent

on avait alors une notion bien particulière pour « trier » ce bétail humain : pour les nazis il y avait bien une race inférieure, l’Untermensch, le sous, le sous-homme, le moins que MOI.

Moi, pour eux, c’est ça : Le jour des résultats du premier tour des élections régionales, un curieux gang stalking : une de mes harceleuses passait la tête haute comme si elle avait soudain croisé le Seigneur là-haut au plus haut des cieux. Le Front national arrivait en tête. La tête levée et guillerette, la dame allait donc conter fleurette à la victoire toute proche. Las ! le second tour l’a déçue. Mais ce n’est que partie remise, disent les vampires qui vivent autour de moi, avec leurs dents en avant (mais ils font comme tous les vampires, ils cachent leurs crocs).

La « bêtise au front de taureau » comme dirait l’autre. Oui, les victimes du Mind Control ont affaire à ce genre de petits eux, de petits riens, qui paradent déjà dans les rues comme elle, celle citée ci-dessus, ceux qui malheureusement vont bientôt fleurir leurs balcons de l’entrelacs des neurones des harcelés.

Ce qu’ils veulent faire de nous, les TI, Targeted Individuals, Personnes Cibles, ce sont des pantins acéphales désarticulés (curieusement c’est ainsi que j’ai visualisé le chihuahua qui jappe, d’emblée, c’est-à-dire la psychopathe qui se venge par le harcèlement électromagnétique). Comme un pantin qu’elle est.

Agrafés que nous sommes par le harcèlement électromagnétique,

(il y aurait « je te tiens par la barbichette – juifs tziganes homos et résistants » pendant les camps,

désormais c’est « je te tiens par la petite oreillette » – je précise bien que cette chansonnette est sifflée sur le mode sadique dans l’un et l’autre cas)

agrafés donc que nous sommes par le harcèlement électromagnétique, c’est sûrement dans le but de faire de nous des moins que rien, des du trente-sixième dessous. Des enfermés derrière les barbelés du harcèlement électromagnétique. Moi, personellement, je suis très surveillée. J’habite près du mirador, et il est très difficile de me dégrafer, de dépasser les barbelés.

Si j’emploie volontairement l’ellipse et le ton cordial de qui doit éviter et l’opprobre et la délation et la provocation, c’est bien justement parce que je suis très surveillée.

On entre chez moi comme dans un moulin. Les stalkers le savent bien, non ?

Mais tous les TI que j’ai rencontrés ont un MOI assez spécial et c’est cela qu’ils doivent avant tout défendre ; leur individualité, leur présence, leur charisme, leur beaucoup plus que leurs harceleurs.

Ils veulent faire de nous de nouveaux Untermensch, en nous oblitérant la pensée. La liberté nous ne l’avons que physique, et les TI le savent bien. On pourrait (je dis bien on pourrait avant que certains disent on pourra) faire soudain de nous des paralysés, et du cerveau et du corps. Nous étrangler (je sais qu’une certaine sait ce que j’entends par là).

Ce qu’on nous fait porter est une sorte d’étoile mais invisible ; en fait on nous étoile le cerveau.

Mais contrairement aux Untermensch de la Seconde Guerre mondiale qu’on épinglait et qu’on dénonçait par l’étoile, puis qu’on enfermait physiquement, nous sommes LIBRES. LIBRES comme l’air, qui lui aussi participe des ondes qu’on nous envoie.

LIBRES, ET BIENTÔT LIBÉRÉS. MAIS PAR QUELLE ARMÉE ?