On ne frappe pas un homme à terre : il faudrait le tatouer sur tous les torses de ces si gentils policiers tordus qui font leur nasse. Ou alors comme désormais ils sont tous connectés ou presque et je me demande même s’ils n’ont pas comme moi la terrible voice to skull qui donne des ordres on devrait leur susurrer par la voice to skull : «on ne frappe pas un homme à terre» ; mais en fait ils ont oublié qu’il s’agissait d’un être humain et ils font comme les pêcheurs avec les crabes et les homards : ils tiennent les pinces et leur tapent dessus.
Mais ils ont bien tort de considérer l’être humain comme un crabe car ce sont eux qui sont caparaçonnés comme de vulgaires crustacés, alors que les pauvres manifestants sont livrés à eux pieds nus et poings levés.
Que veut cette police ? Que nous dit-elle surtout de sa lâcheté et de son impuissance ?
Elle nous dit cela :
Je n’ai plus aucun respect pour les êtres humains, mais seulement pour un homme machine. Je ne réfléchis pas j’agis je ressemble d’ailleurs à un crustacé ou à un cloporte et peu importe.
Les nasses sont faites pour capturer et nos cloportes policiers désormais n’en font qu’à leur casque. Et chacun d’eux pense cela : même si on me met la voice to skull comme les militaires de l’opération Félin, je suis fier car je m’initie aux nouvelles techniques.
Voilà la réflexion d’un débile policier lambda.
Certains manifestants blessés ou choqués leur demandent leur RIO (référentiel des identités et de l’organisation, la définition fait frémir !) je leur prédis une chose :
Dans quelque temps on te demandera d’oublier jusqu’à ton NOM tu ne seras plus qu’un matricule. Tu as compris connard ? Tu ne seras plus qu’un RIO, un chiffre imbécile que tu ânnonneras jusque dans ton lit : 1456328.
Les policiers déjà ne sont que ça : un tas de cloportes à RIO.
et malheureusement seuls les insectes résistent après toutes sortes de radiations.
Gang stalking araneus/Targeted Individuals/Me and Julian Assange 