Le mépris

C’est un film que j’aime bien. Surtout une des scènes. Et la jouer me manque aussi beaucoup.

Ce titre me vient à l’esprit non pour le titre et le film mais pour une autre raison : À cause de ces sales pourritures que j’ai croisées un jour par hasard, parce que les hasards de la vie m’avaient fait perdre un de mes emplois, je ressens vraiment ce que « mépriser » veut dire.

Pour leur donner des références puisqu’il s’agit de nazillons qui m’ont ciblée, c’est un peu la différence entre les royalistes et les nazis de la fête de la Bière à Munich. Les royalistes regardent leurs semblables à droite de l’échiquier politique avec une certaine condescendance.

Oui, les cellules du Mind Control bénéficient de ma condescendance : elles sont remplies je le confirme de nazillons de bas étage. De pauvres Bretonnes qui ont tragiquement abandonné toute fierté. De femmes je l’ai déjà dit abjectes et perverses. Ignobles en tout point.

Que je méprise.

Malheureusement, ces nazillons de bas étage se regroupent. Se donnent des coups de coude en racontant leurs bons mots, leurs sales blagues dans leurs réseaux de gang stalking, corrompus jusqu’à la moelle.

Désormais, il ne suffit plus de les mépriser : il faut les dénoncer. Les traduire en justice et les juger.

Les torturer à leur tour serait leur faire trop d’honneur. Regardons-les juste avec mépris avant de refermer derrière eux la porte d’une prison bien méritée.

La loi et le mépris : voilà ce que l’on doit opposer à ces cellules ignobles composées de fascistes aux sales relents de Troisième Reich.

Les démocrates et les défenseurs des libertés feraient bien de se réveiller très vite.

En photo, dessinée par moi, une des vieilles tops françaises (je mets son nom parce que elle et son mari m’énervent…) Carla Bruni qui dit sur sa chaise (parce qu’elle a essayé de faire comme moi):

«Avant j’avais du nez j’aurais pu jouer dans LE Mépris, maintenant j’ai le NEZ PRIS.»