Paris frémit des lamentations de tous ses derniers étages qu’avant occupaient les gueux, les artistes, les très pauvres, les bohèmes, comme moi, sans eau, mais en lisant tout Dostoïevski.
Paris tourmentée par ses derniers étages que récupèrent les imbéciles friqués qui mettent tout en Airnb c’est à dire en nuanciers de gris.
Paris des chambres de bonne perdues dans l’oseille des ridicules.