Dans les cellules du Mind Control, les nazis recrutent les pires des déchets : vieilles badernes des colonies, anciens de l’OAS qui à nouveau peuvent torturer à loisir par la voice to skull, détraqués en tout genre, femmes psychopathes qui trouvent là une scène idéale, car elles ne peuvent être dénoncées. Ramassis de frustrés fachos en tout genre.
Ces gens servent aussi au stalking, pour effrayer : alors on essaie de prendre de vrais déchets, des dégénérés, des mochetés, des géants, des difformes.
Les pontes du Mind Control ne sont pas regardants : ils acceptent tous les discours fascisants.
Par la voice to skull , ces déchets coexistent dans la tête de citoyens parfaitement innocents.
On mêle désormais des Chinois, car on sait bien qu’en Chine on aime follement la liberté d’expression ; les Chinois débiles et les tarées qui les accompagnent s’exercent librement dans ces appartements ; les vieilles poupées emplâtrées du temps de Mao assistent les débiles mentaux du Front national.
Les dirigeants du Mind Control et ceux qui trempent dans ces nouveaux marchés paieront un jour.
Et GLADIO cautionne tout ce petit monde. On s’en prend à des civils innocents pour essayer des armes, de nouvelles formes de harcèlement.
GLADIO désormais se fait complice et cautionne ces déchets chinois qui n’ont pas assez de la Chine pour installer leur petite dictature.
On n’est pas regardants dans le Mind Control : on recrute là où il n’y a pas de pensée. En Chine donc, et dans toutes les champignonnières de fachos des tours où de vieux monstres se cachent pour échapper à la justice.