La vraie misère actuellement, ce ne sont pas les pauvres hères qui errent ou qui se posent sur les trottoirs. Ce n’est pas cette jolie jeune femme avec son chapeau bleu pailleté qui fait la manche à Censier Daubenton. Ce ne sont pas tous les Roms qui font la manche.
La vraie misère, ce sont les petites cellules de fascistes qui prolifèrent et qui gangrènent le paysage politique, qui se réunissent dans des tours remplies de vieux qui croient ainsi avant de crever accomplir une grande action, en bavant sur les Noirs, les Arabes et les crapules et qui s’allient aux pires crapules, aux pires psychopathes. Et le plus grave, c’est que ce sont surtout des femmes, de vraies folles, sans âme, sans esprit, sans corps, sinon resteraient-elles cloîtrées dans un appartement à torturer ? Celles-ci cherchent ainsi à plaire à des hommes qui rêveraient de fomenter un Quatrième Reich, avec la complicité de flics véreux, de militaires en mal de terrain de bataille.
La vraie misère, ce sont ceux qui sont sous harcèlement électromagnétique qui l’entendent. La vraie misère je la subis tous les jours.