JE SUIS TRISTE MÊME POUR LE FASCISME

De la part des Afrikaners au temps de l’Apartheid, je pense que jamais un Noir n’a même entendu les ignominies que j’entends de la part de pauvres gens. Je dis pauvres, plutôt au sens figuré.
Et je pense que jamais même un Afrikaner ne se serait permis de parler de cette façon, de sortir de telles énormités. Ce n’est même plus du racisme, c’est au-delà. Une vulgarité à vomir, je dis bien à vomir.
Ces gens se le permettent parce que ces paroles me sont dites par la voice to skull. Mais certains je pense les entendent en direct, et peuvent enregistrer et témoigner. Ils ne font rien. Ces ignobles taré(e)s se permettent de proférer des insultes insoutenables mâtinées de porno ignoble. Quand je dis ignoble, c’est un mot faible.
De telles ignominies ne sont même pas dignes d’un être humain. Et surtout pas dignes d’un être humain qui vit au XXIe siècle à Paris. On croit rêver. Un scandale.
Cependant, même si ces mots sont dits par la voice to skull, ils ne sont pas dits par des fantômes mais bien par des êtres humains. Et je sais où sont ces êtres « humains » et de quoi ils se revendiquent. Et je suis bien triste même encore une fois si évidemment je ne suis pas de leur bord. J’allais dire je suis triste même pour le fascisme, ce qui n’est pas peu dire.
Là, dans cet ignoble creuset où je ne sais comment ces êtres sont arrivés, on arrive à un dégueuli même pas digne des animaux.
Il y a une dignité, malgré tout, à respecter.
Il y a même chez un fasciste j’allais dire une morale. Enfin chez certains. (Je repense au beau visage de Marlon Brando dans certains films, où il joue un Allemand)
Là dans cet abominable creuset de vomi, de rancœur, de porno mal digéré, de racisme abêtissant, de petitesse, de bassesse, de maladif besoin de trouver un bouc émissaire, il y a la version la pire de l’humanité. J’ai déjà dit qu’on était dans la porcherie. Désormais on est bien dans la porcherie, toujours, mais dans le lisier directement. Dans une innommable déjection animale qui n’a plus rien d’humain. Mais ce sont bien des humains qui en plus se voudraient apparemment respectables qui disent ces mots.
J’ai gardé une couverture de Libération sur laquelle le beau visage de Nelson Mandela repose.
La légende est bien : « Un homme libre. »
Mandela s’est battu pour sa liberté et celle de son peuple.
Moi je me battrai pour que de telles énormités n’arrivent pas aux oreilles de mon enfant, ni de qui que ce soit d’ailleurs.
Oui, je suis bien moi aussi « une femme libre », libre de me battre pour que de telles erreurs de la nature ne soient plus en liberté (à la limite ce serait leur rendre service), je dis bien de telles erreurs de la nature (et je peux donner des noms). Libre aussi de vivre comme je l’entends, et pas asservie par les nouvelles formes de harcèlement que font ces gens-là qui ensuite se permettent de jeter l’anathème.
La liberté, c’est bien de s’observer en tant qu’homme dans une société donnée. Et dans cette société, n’en déplaise à ces pauvres gens, il y a désormais un monde dans lequel ils ne vont pas rejeter à la mer tout ce qui ne ressemble pas de près ou de loin au blanc (les Asiatiques semblent cependant avoir la cote), à tout ce qui ne leur semble pas politiquement correct, bête et discipliné. Dès qu’on gratte un peu le vernis, voilà ce qui apparaît : l’innommable.
Et si nous ne faisons pas très vite quelque chose contre ces cellules du Mind Control où se retrouvent des « personnes » qui se permettent de proférer de telles insanités, nous allons droit dans le mur.34053977_591165421258525_8063263041917026304_n-1

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