LA NOUVELLE FACON DE BRANCHER TRES BRANCHEE
LES NOUVELLES TORCHES DU KU KLUX KLAN
Les membres du Ku Klux Klan sortaient (sortent) toujours couverts (oui on pourrait aussi penser à autre chose……) mais en l’occurrence c’était (c’est) bien aussi pour éviter qu’on ne les reconnaisse, se protéger, se dissimuler, ne pas laisser de preuves de leur identité.
Armés de leurs torches, et certains de leur supériorité (quand je mets entre parenthèses auprésent ci-dessus c’est bien parce que aux États-Unis les WASP s’en revendiquent bien sûr sans se l’avouer et l’avouer vraiment), ils s’attaquaient à qui s’opposait à eux, aux personnes qui revendiquaient leurs droits. Des droits ?
On se souvient sans doute du film de Spike Lee sur Malcolm X où les membres du Cercle (mettons-leur une capitale puisqu’il s’agit bien d’une organisation), encerclent la maison et brûlent allègrement tous les biens de cette famille, n’ayant aucune considération pour femme et enfants.
Désormais, il serait évidemment ridicule de se promener avec une torche, un flambeau et une longue toge blanche ne laissant voir que les yeux.
Le Ku Klux Klan a donc plus d’un tour dans son sac : il a pris d’autres apparences et dispose d’autres armes, qui brûlent aussi. Mais c’est toujours le même principe : on se fait justice soi-même, sans risquer de montrer… patte blanche. Ce que fait la psychopathe contre laquelle j’avais fait une plainte à l’aide de ses acolytes du Cercle.
Le Ku Klux Klan a désormais ses nouvelles torches : les armes psychotroniques. Dissimulés dans leurs appartements, les membres du Cercle (ce sont d’autres organisations mais qui fonctionnent de la même abominable manière) infligent à leurs victimes brûlures, bombardements sur le crâne, histoire de les faire mieux réfléchir à ce que pourrait leur coûter une rébellion. On peut même imaginer si ils se révoltent trop de les supprimer, comme cela arrivait alors aux États-Unis (je veux dire dans le « glorieux » temps où cette organisation lynchait, punissait, brimait, etc.). On peut écouter Strange Fruit de Billie Holiday, qui date de 1939 et qui est tout simplement… magnifique.
Un de mes amis récemment n’a pas eu le droit d’aller aux toilettes dans un café aux Etats-Unis. Oui vous avez compris il est Afro-American. C’est en 2016. En 2016 ?
En France, le Cercle utilise donc ses torches électromagnétiques, ni vu ni connu, je te crame et tu m’as pas vu.
À l’époque, à la place du harcèlement électromagnétique (qui demande quand même de nos jours une machinerie dont disposent des organisations comme la police), le Ku Klux Klan disposait de toutes sortes de moyens de harcèlement : dans le travail, les bus, partout.
Désormais, en France aussi, en plus des torches électromagnétiques qui nous brûlent le corps, le Cercle a ses machines qui nous crament le cerveau.
Des personnes, nous voulons dire des malfrats, peuvent ainsi comme au bon temps des colonies et de la ségrégation cramer qui bon leur semble et au mépris de toutes les lois, et au mépris des enfants présents et au mépris de la démocratie. On se fait justice soi-même.
Justement, c’est bien là peut-être qu’est le problème : actuellement le pouvoir n’est-il pas tombé aux mains de ces Cercles qui veulent bientôt et au mépris non seulement de la personne humaine, mais aussi de toutes les lois, faire oserais-je dire un coup d’éclat pour ne pas dire d’État ?
Ne laissons pas le Ku Klux Klan ou ses dérivés prendre le pouvoir, ni en France, ni en Europe, ni d’ailleurs dans le monde.
À l’époque, et d’une autre manière, le Ku Klux Klan exerçait lui aussi le Mind Control.